What I wanna do, un enregistrement au Studio Tchaman et dans la tradition

Dans le respect des traditions mais sans se poser de limites
Vous avez rendez-vous le vendredi 7 janvier pour un concert à L’Intermédiaire (Marseille) pour fêter la sortie du premier album d’Haïkel Ouzahrir, « What I wanna do ». Haïkel Ouzahrir, guitariste et auteur compositeur, s’est déplacé avec son quartet au Studio Tchaman après plusieurs années de concerts avec ses musiciens: Adrien Spica (batterie), Loïc Lafont (basse) et Lucas Santaniello (claviers). C’est donc un groupe solide avec un répertoire très bien rôdé qui est venu enregistrer. Les 11 titres de l’album étaient déjà parfaitement dans leurs doigts et ils n’avaient plus qu’à jouer le plus beau concert de leur vie, avec comme seul public, moi, leur ingénieur du son, et Massimo, stagiaire assistant. Nous étions en 2020, entre 2 confinements, sous une canicule terrible, propre à faire suer chaudement nos 4 musiciens. L’enregistrement et le mixage de l’album a duré 10 jours. L’album d’Haïkel puise ses influences dans un blues traditionnel mais en s’affranchissant de toutes limites comme il l’explique si bien lui même dans la vidéo qui suit. Cet album plaira donc aussi à ceux qui aiment le blues, la soul, le funk, le rock et même le punk rock!
Un processus d’enregistrement et mixage respectueux de la musique
La qualité sonore d’un album dépend évidemment de la qualité des musiciens eux-mêmes et le travail fournit en amont de l’enregistrement. Dans le cas d’Haïkel Ouzahrir, il s’agit de 3 années de travail acharné, d’arrangements, de répétitions, de travail du son, de concerts etc. Finalement, mon rôle aura été d’être le plus discret possible et de respecter la musique telle qu’elle était jouée. Pas de traitements sauvages au mixage donc. Le résultat final est très proche du son au moment de l’enregistrement. S’agissant de musique organique et dont l’âme se trouve dans les notes, la manière de les jouer et l’amour qui y est mis, le rôle de l’ingénieur du son n’est pas de tout changer au moment de la post-production. Haïkel voulait s’entendre, se reconnaître en écoutant son album. Et finalement, quand on y pense, et peu importe le style que vous jouez, quel est l’intérêt de s’écouter sans se reconnaître? Pourquoi formater un album et anéantir l’âme de celui-ci? Changez vous votre tête sur vos photos souvenirs pour ressembler à une star du cinéma? La société s’efforce déjà de masquer les différences entre chacun, de tout uniformiser. Il nous reste encore les créations artistiques afin que chacun y fasse refléter son âme. Découvrez maintenant le titre Soulless, dans son intégralité:
Je vous propose donc de faire vivre l’âme de vos projets musicaux avec des enregistrements fidèles. Bien sûr je ne suis pas un ayatollah. Je suis ouvert à tout et suis à l’écoute de toutes vos suggestions. Tout est question de communication et de temps. Découvrez le parc micros du studio ainsi que nos tarifs. Je vous propose aussi un service de réalisation de vos clips. Ci dessous, découvrez le titre « What I wanna do » qui est un enregistrement live promotionnel et qui n’est donc pas la version vous ne trouverez pas sur l’album, mais qui vous permet de découvrir le studio A où nous enregistrons la plupart des batteries par exemple et ce que vous découvrirez lors de la sortie d’album le 7 janvier:
